lundi 22 juin 2015

Le Mystère Oméga : l'Aven oublié - Aymeric Guilluy-Eyraud

Titre : Le Mystère Oméga Tome 1 : l’Aven Oublié
 
Auteur : Aymeric Guilluy-Eyraud
 
Genre : Jeunesse/Fantastique
 
Editions : La Pimpante
 
Date de sortie : 01/07/2014
 
Nombre de pages : 240
 
Prix : 6,80 €
 
 
 
Synopsis :
 
Arthur s'apprête à entrer en terminale lorsque sa mère et Paul, son beau-père, lui apprennent qu'ils s'installent à la campagne... avec lui. Une mauvaise nouvelle n'arrivant jamais seule, la découverte de ses nouveaux voisins, une fille fantomatique et un vieux peintre étrange, n'arrange rien à l'affaire. Arthur va de surprise en surprise, avant de se découvrir un pouvoir terrifiant qui bouleverse sa vie et le confronte à un secret remontant à la nuit des temps.
Sa rencontre fortuite avec Mathilde scellera le début d'une dangereuse quête de vérité.
 
 
Mon avis :
 
Je voudrais tout d’abord remercier les Editions La Pimpante pour ce Service Presse.
 
Quand j’ai commencé ce livre, j’ai tout de suite eu de la sympathie pour le narrateur : Arthur.
Arthur est au lycée et termine sa première. A la fin de l’année scolaire sa mère et son beau-père lui annonce qu’ils déménagent à la campagne. Donc changement de maison, de ville, de lycée…
Arthur n’est pas enchanté mais ce changement va le décoller un peu de ses activités habituelles : lecture et jeux en ligne.
En se promenant dans les bois derrière chez lui et au village, il va faire d’étranges découvertes…
Arthur va se découvrir un pouvoir : il peut pratiquer la chrono kinésie c’est-à-dire arrêter le temps.
 
J’ai bien aimé le thème : la chrono kinésie. C’est un sujet surnaturel pas ou peu utilisé.
De plus, on suit Arthur dans la découverte de son pouvoir, il ne l’a pas au début du livre et il apprend à le maitriser petit à petit.
 
On apprend également que ce pouvoir est convoité et qu’Arthur est en danger.
 
J’ai bien aimé suivre les aventures d’Arthur et encore plus dans la deuxième partie quand il rencontre Mathilde.
J’aime beaucoup quand il y a un peu de romance dans ces mondes de dingues, surnaturels et pleins de créatures fantastiques…ça rend les choses plus douces.
 
 
Mathilde est une jeune fille, indépendante, douce, sûre d’elle et sympathique. Elle va aider Arthur à démêler toutes les informations concernant son pouvoir.
 
Le seul petit hic avec cette histoire, c’est que certaines de nos questions restent sans réponses.
On ne sait pas vraiment pourquoi Arthur a ce pouvoir ?
On ne sait pas ce que veulent exactement les méchants et qui ils sont vraiment ?
On nous parle souvent de l’Oméga, mais on ne sait pas vraiment ce que c’est non plus.
Alors, est-ce parce que ce n’est que le 1er tome ?
J’espère, car pour l’instant l’idée est bonne mais selon moi, l’ensemble reste flou.
 
L’écriture est, quant à elle, fluide. Les évènements s’enchainent bien.
 
BREF, un roman sympathique avec des personnages attachants et un concept original mais je reste un peu sur ma faim, j’attends la suite pour avoir des réponses à mes questions!
 
 

lundi 15 juin 2015

Présentation des auteurs [3] - MILIE JAPPE


MILIE JAPPE
 
 
 

 

1.     Peux-tu te présenter ?

 

J’ai officiellement 33ans, mais je préfère en avoir 27, ça me va mieux au tien. Je ne suis ni blonde, ni vraiment brune, ni trop grande, ni trop petite, enfin plutôt petite.

Certains diront que j’ai mauvais caractère, mais ne se sont que des mauvaises langues, c’est juste que j’ai du caractère. Plus fidèle que moi en amitié il n’y a pas, même Lassie peut aller se rhabiller. Par contre si on me déçoit, c’est fichu.

Sinon je suis futurement mariée et j’ai deux adorables enfants, ainsi qu’un chien capricieux.

 

 

2.   As-tu toujours su que tu serais (ou voulu être) écrivain ? Quel a été l’élément déclencheur qui t’a poussé à écrire ?

 

J’ai toujours su que j’aimais écrire, mais en faire mon métier, je ne l’ai jamais envisagé à part peut-être dans mes rêves les plus fous !

 

 

3.   Depuis combien de temps écris-tu ?

 

J’écris depuis que j’ai l’âge de tenir un crayon. Même quand je ne savais pas encore écrire, je faisais des traits ou des boucles en me racontant des histoires.

 

 

4.   Qu’est-ce qui t’a poussé à sauter le pas, à envoyer ton manuscrit à une maison d’édition ?

 

Je n’ai pas écrit durant un long moment entre mes études supérieures, ma propre vie amoureuse, puis les enfants, je n’avais plus le temps ou l’envie, peut-être même les deux. Puis j’ai lu 50Nuance de Grey, j’ai adoré leur histoire d’amour même si les scènes de sexe m’ont lassée au bout d’un moment. Et je me suis dit pourquoi ne pas écrire une histoire d’amour que j’aimerais lire. De là sont nés Louise et Tristan.

Je l’ai envoyé à une maison d’édition début 2015 comme une résolution, en me disant qu’après tout si je n’essayais pas je ne saurais jamais si je peux vivre de ma passion.

 

 

5.    Vis-tu de ta passion pour l’écriture ou as-tu un autre métier? Dans le cas d’un autre métier, comment arrives-tu à concilier les deux ? (au niveau temps)

 

Ce n’est que mon premier livre donc oui pour l’instant j’ai un autre métier, je suis administratrice de biens. Je suis à mon compte ce qui me permet de partager mon temps comme je l’entends entre mes obligations professionnelles et l’écriture.

 

 

6.   Où puises-tu tes idées ?

 

Je ne saurais pas vraiment le dire. Souvent mes idées viennent de livres ou de films voir de séries dont l’histoire me plait ou en tout cas un élément de l’histoire et je tisse ma toile autour.

 

 

7.    Comment construis-tu tes personnages ? Est-ce que tu t’inspires de tes proches, de ton histoire personnelle ?

 

Il y a un peu de tout et de tout le monde, j’aime faire des clins d’œil à des proches au travers de mes personnages.

 

 

8.   Lorsque tu commences l’écriture d’un roman, suis-tu un processus particulier ?

 

Pas du tout, je le fais au feeling, ni plan, ni fil conducteur. Mon seul rituel est d’écrire la presque totalité de l’histoire à la main et quand je me rends compte que ça va me prendre 100 ans à tout taper, je me mets à  écrire directement à l’ordinateur.

 

 

9.   Ton livre est orienté vers le style « romance », est-ce que tu penses écrire un jour dans un autre registre ?

 

Non, je ne pense pas écrire autre chose. Mon inspiration n’est activée que par les belles histoires d’amour et ça a toujours été le cas. Après il ne faut jamais dire jamais !

 

 

10.                     Quels sont tes livres préférés ? Ton style préféré ?

 

Mon style la romance presque exclusivement. Adolescente je lisais beaucoup de thrillers, mais aujourd’hui plus du tout.

Mon top  serait :

1/ Beautiful Player de Christina Lauren,

2/ Maybe Someday de Colleen Hoover,

3/ 50 nuances plus sombres de E. L James,

4/ Hot Love Disaster de Cécile Chomin,

5/ 24h d’Alexandra Gonzalvez.

 

 

11.Petit scoop, as-tu un livre en préparation ?

 

Oui. J’en ai toujours un en préparation, mais reste à savoir si je vais le finir  ou s’il sera assez bon pour être publié.

 

 

12.                      Un dernier mot pour tes lecteurs ou futurs lecteurs ?

 

Je crois qu’un énorme MERCI s’impose, en fait non mille Mercis s’imposent.

 

 

 

 

 

 

Bibliographie de MILIE JAPPE:

-         Le ramener à moi, Erato Editions (2015)
Résumé :

Louise juriste ambitieuse décroche le job de ses rêves et un peu plus.

Tristan Ringer, Playboy millionnaire à la tête de la plus grosse multinationale dans le milieu de la mode et du luxe tombe sous le charme de cette jeune juriste et est prêt à transgresser toutes les règles qu’il s’est fixées pour être avec elle.

Louise et Tristan vont devoir combattre leurs vieux démons s’ils veulent vivre leur passion jusqu’au bout.

 

 

 

Liens Utiles :

 

Vous pouvez la retrouver :

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- Sur Twitter : ici

 

Vous pouvez retrouver son livre : ici

 

Le site des Editions Erato : ici

jeudi 11 juin 2015

Présentation des auteurs [2] - MAIA BRAMI


MAÏA BRAMI
 

©Julien Brami

 
1.      Pouvez-vous vous présenter ?
 
C’est un exercice difficile. Je pense que mes réponses à vos questions seront un bon début de présentation…
 
 
2.      Avez-vous toujours su que vous seriez (ou voulu être) écrivain ?
 
Je l’ai su assez tôt, en classe de 6e. Le professeur de français nous a proposé un devoir sur table où il fallait raconter une heure de cours avec l’un de nos professeurs et j’ai choisi le prof de Maths qui me terrifiait. J’ai écrit un texte plein d’autodérision, où je dédramatisais mes larmes. La semaine suivante, mon texte a été lu devant la classe. Et la réaction amusée des élèves m’a soudain fait prendre conscience que, grâce aux mots, j’avais un pouvoir, j’étais quelqu’un. C’est ce qui m’a décidée à devenir écrivain.
 
 
3.      Depuis combien de temps écrivez-vous ?
 
Je serais tenter de répondre, depuis que je suis en âge d’écrire. J’ai retrouvé un recueil de poèmes composé à 8/9 ans.
 
 
4.      Quel a été l’élément déclencheur qui vous a poussé à écrire ?
 
Voir question 2
 
 
5.      Qu’est-ce qui vous a poussé à sauter le pas, à envoyer votre premier manuscrit à une maison d’édition ?
 
J’ai eu vent d’une collection pour adolescents qui débutait. L’éditeur recherchait des textes. A l’époque, j’écrivais des nouvelles et je ne pensais pas écrire pour la jeunesse, mais mes parents m’ont dit d’essayer. J’ai pris un mois pour relever le défi. En trois semaines, j’avais écrit « Vis ta vie Nina » ! Pour l’anecdote : l’éditeur en question n’en a pas voulu et le manuscrit a fait plusieurs maisons avant de trouver preneur chez Grasset jeunesse.
 
 
6.      Vivez-vous de votre passion pour l’écriture ou avez-vous un autre métier? Dans le cas d’un autre métier, comment arrivez-vous à concilier les deux ? (au niveau temps)
 
Ce serait merveilleux de vivre de sa plume, mais rares sont les élus. Un auteur touche bien peu sur chaque livre vendu — moins d’un euro en général. Donc, à moins d’en vendre des quantités, il faut avoir un boulot alimentaire à côté. J’ai longtemps été journaliste freelance — presse, Net, radio, TV — et j’anime régulièrement des ateliers d’écriture en banlieue dans les écoles, les collèges, et au Mémorial de la Shoah, à Paris. Je réalise aussi de plus en plus de portraits de musiciens classiques. Il m’arrive aussi de couvrir des festivals en tant que photographe. Jusqu’ici, j’ai réussi à me ménager beaucoup de temps pour écrire, ce qui me permet de travailler de façon intense sans être coupée dans ma concentration.
 
 
7.      Où puisez-vous vos idées ?
 
De la vie, je pense. Quand je me rends dans les classes, je raconte souvent aux petits que j’ai l’impression que mon cerveau fonctionne comme un tamis, qui filtre un tas d’informations. Lorsqu’une idée me reste en tête et m’obsède, ça devient une pépite qui demande à être exploitée par l’écriture.
 
 
8.      Comment construisez-vous vos personnages ? est-ce que vous  vous inspirez de vos proches, de votre histoire personnelle ?
 
Certes, l’imagination pure et dure n’existe pas. Elle se nourrit de la vie, de l’expérience, de tout ce que je peux voir ou entendre, qu’on me raconte, que je lis.
 
 
9.      Vos livres sont principalement tournés vers le personnage féminin ou vers les enfants, est-ce quelque chose qui vous tiens à cœur ?
 
Mais les garçons sont aussi présents dans tout ce que j’écris : dans certains de mes albums pour enfants ou même dans « Norma », mon premier roman en littérature générale, dont le héros est un adolescent, Léo. Dans mes nouvelles « Passages » (Océan édition), on rencontre aussi bien des garçons que des filles. Quant aux « Princes charmants n’existent pas », il fait la part belle aux garçons aussi, à travers les lettres de Rodrigue. Sans compter « Lettre au poète », qui évoque Jean Cocteau. Mais il est vrai que je suis aussi très intéressée par la femme et son corps, ce qui transparait dans mes autres textes pour adultes.
 
 
10.    Vous avez racontez votre propre expérience dans L’inhabitée, ce n’est pas trop difficile de raconter une expérience telle que celle-là ? ou au contraire est-ce un soulagement ?
 
À vrai dire, je n’avais pas le choix. C’était une question de survie. Il ne s’agissait pas d’écrire un témoignage, mais d’arriver à sublimer ma détresse pour en faire une œuvre littéraire. La construction et les mots permettent la distance, cette part d’universalité qui fait la force d’un roman et engage l’empathie du lecteur. Je voulais contrer le destin, parler de mon infertilité pour me rendre fertile, me remettre à créer, me rendre la vie.
 
 
11.     Lorsque vous commencez l’écriture d’un roman, suivez-vous un processus particulier ?
 
Quand je commence à l’écrire, c’est qu’il est d’une certaine façon prêt à sortir. En général, j’ai une ligne directrice assez lâche qui oscille au mesure que les chapitres avancent. Plus qu’une ligne, c’est une sensation qui me guide tout au long de l’écriture. J’ai remarqué aussi que j’ai une BO spécifique pour chaque texte, idem avec les lectures qui me nourrissent pendant l’écriture.
 
 
12.    Vous avez déjà reçu plusieurs prix pour vos livres (prix Chronos, prix Matti Chiva…), qu’est-ce que l’on ressent à ce moment-là ?
 
J’ai été très gâtée en recevant le Prix Chronos pour mon tout premier roman. C’était un peu irréel, mais j’étais très fière et le prix étant doté, ça m’a permis d’écrire le deuxième. Recevoir le Prix du Festival du Premier Roman pour « Norma » a aussi été un merveilleux moment. C’est une reconnaissance qui encourage à continuer, et vu la difficulté de la condition d’auteur, c’est précieux.
 
 
13.    Quels sont vos livres préférés ? votre style préféré ?
 
Ça, c’est la question piège !  Je n’ai pas de style préféré. Adolescente, je lisais tout ce qui me tombait sous la main : classiques français, russes, théâtre, poésie, polars de la Série Noire etc. Je continue encore aujourd’hui, sauf que je suis de plus en plus intéressée par le style et la façon dont l’histoire est écrite, plutôt que par l’histoire elle-même. Du coup, beaucoup de livres me tombent des mains.
 
 
14.    Un dernier mot pour vos lecteurs ou futurs lecteurs ?
 
Les remercier d’exister et de me suivre ?
 
 
 
BIBLIOGRAPHIE de MAIA BRAMI :
          Romans :
-          L’inhabitée, Editions de l’Amandier (2015)
-          Paula Becker le peinture faite femme, Editions de l’Amandier (2015)
-          La vie refusée, Editions de L’Ixcéa (2012)
-          Dans le ventre des femmes, BSC Publishing (2012)
-          Le sang des cerises, Editions Rhubarbe (2010)
-          Norma, Editions Folies d’encre (2007)
          Nouvelles :
-          Passages, Océan Editions (2010)
          Essais :
-          Lettre au poète, Editions Belin (2014)
          Poésie :
-          Suite enfantine, Editions du Petit Flou (2013)
-          Pas d’ici, pas d’ailleurs, anthologie de voix féminines, Voix d’Encre (2012)
-          Enfances, regards de poètes, anthologie, Editions Bruno Doucey (2012)
-          Pour qu’il advienne, poèmes, Editions Caractères (2010)
          Beaux livres :
-          Kama Sutra, 30 positions pour fantasmer, Editions Magellan & cie
-          9 mois par moi, carnet de grossesse, Editions Aubanel
          Jeunesse :
-          Même les stars aiment les sardines à l’huile (2015)
-          Les princes charmants n’existent pas, Nathan (2014)
-          Le garçon d’à côté, roman Je bouquine (2013)
-          Serpent à lunettes !, Nathan
-          En rentrant de l’école, Editions Grasset Jeunesse
-          Goûte au moins, Editions Circonflexe
-          Ne me parlez plus de Noël !, Nathan
-          Mon arbre ami, Editions Casterman
-          Les pères aussi ont leurs secrets, Editions Grasset Jeunesse
-          Vis ta vie Nina, Editions Grasset Jeunesse
          Collectifs :
-          Histoires cueillies pour Haïti, TheBookEdition (2010)
-          Quand les baobabs chatouillent les nuages, Vision du monde/Destination2055 (2010)
-          Si je t’écris, Aide au Soutien des Enfants Malades (2007)
-          Amis-mots, Aide au Soutien des Enfants Malades (2005)
 
 
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