Titre : La Faucheuse, tome 1
Auteur : Neal Shusterman
Genre : Jeunesse / Science-Fiction
Editions : Robert Laffont
(Collection R)
Date de sortie : 16/02/2017
Nombre de pages : 493
Prix : 18,90 € (papier) ou 12,99
€ (numérique)
Synopsis :
Les
commandements du Faucheur :
Tu
tueras.
Tu
tueras sans aucun parti pris, sans sectarisme et sans préméditation.
Tu
accorderas une année d'immunité à la famille de ceux qui ont accepté ta venue.
Tu
tueras la famille de ceux qui t'ont résisté.
Mon avis :
Quand
ce livre est sorti, et je dirais même avant qu’il ne sorte, il a fait
énormément parler de lui.
C’était
le nouveau coup de cœur de tous les blogueurs/booktubeurs. Alors comme un mouton,
je l’ai acheté et commencé…
Je
dis commencé, car malgré mon acharnement, j’ai eu beaucoup de mal au début.
Je
trouvais le concept vraiment pas mal, novateur, et complètement original.
Le
hic ?
J’ai
trouvé l’histoire trop plate, sans actions, sans rebondissements…
Je
l’ai donc laissé quelques temps avant d’essayer de poursuivre. Je n’ai pas
recommencé du début car malgré le temps passé entre mes deux lectures, je
n’avais rien oublié, le récit était resté gravé en moi.
Et
là, j’avoue que la deuxième partie du roman était beaucoup mieux.
Dans
ce livre, nous alternons la narration entre Citra et Rowan. Deux jeunes gens
qui ont été sélectionné par Maître Faraday pour
suivre la formation de faucheur.
Ce
n’était pas dans leur plan ?
Selon
Maître Faraday, c’était mieux ainsi, car un faucheur ne doit pas vouloir tuer,
ni y prendre du plaisir. Voilà pourquoi selon lui, ils seraient de bons
faucheurs.
On
va donc les suivre durant leur formation d’un an. Formation pendant laquelle,
ils vont devoir apprendre à se battre, à utiliser toutes sortes d’armes, de
poisons…
En
sachant que les choses vont se compliquer car à la fin de la formation, le
« gagnant » devra glaner le « perdant ».
Déjà,
on leur avait interdit de tomber amoureux, car un faucheur ne se marie pas…il
vit seul toute sa vie.
Leur
relation est donc compliquée mais ils n’ont pas dit leur dernier mot…
J’ai
bien aimé le personnage de Citra grâce à son côté déterminé. J’ai eu plus de
mal avec Rowan car même quand c’est lui le narrateur, on a un peu plus de mal à
le cerner complétement.
Bref,
malgré un début assez lent, c’est une bonne histoire car le concept est très
original et novateur. Je ne me formalise pas sur ce début car comme il s’agit
d’une série, il faut le temps de mettre les choses en place.
« Sans
la menace de la souffrance, on ne peut pas connaître la joie véritable. Au
mieux, on ressent du plaisir. »
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