Titre : Phaenix, tome 0 :
Âmes sœurs
Auteur : Carina Rozenfeld
Genre : Fantastique /Jeunesse
Editions : Robert Laffont
(Collection R)
Date de sortie : 07/2012
Format Numérique uniquement
Prix : 0,99 €
Synopsis :
Une
nouvelle inédite sur le mythe de Psyché et d'Eros
Psyché
et Éros, Anaïa et l'homme de sa vie. Deux couples : l'un est déjà mythique,
l'autre doit encore écrire sa légende.
Une
nouvelle exclusive pour découvrir l'univers de la série Phænix de Carina
Rozenfeld et le mythe de Psyché et Éros qui a inspiré l'auteur.
Depuis
l'origine du monde, le Phænix meurt et renaît perpétuellement de ses cendres.
L'être fabuleux est constitué de deux âmes sœurs. À chacune de ses
résurrections, ses deux moitiés doivent se retrouver et s'aimer pour reformer
l'oiseau légendaire. Car lui seul a le pouvoir d'éloigner les menaces qui
pèsent sur l'humanité. Malheureusement, les deux amants ont été séparés et
l'oubli de leurs vies antérieures les empêche d'être réunis...
Mon avis :
J’aurai
dû lire cette nouvelle plus tôt car ça fait quand même un an que j’ai lu la
saga Phaenix mais bon mieux vaut tard que jamais…
Le
fait de lire cette nouvelle après avoir lu les livres n’est pas forcément à
faire car je n’ai pas fait beaucoup de découvertes.
La
nouvelle se découpe plus ou moins en 3 parties. L’une parle du mythe d’Eros et
Psyché, ensuite nous avons une partie sous le point de vue d’Eidan et en
dernier le point de vue d’Anaïa.
A
chaque fois, ça nous explique l’histoire, ça nous donne un avant-goût des tomes
qui nous attendent.
Etant
donné que je lis cette nouvelle après avoir lu ces livres, j’ai surtout était
intéressée par le début et la deuxième partie sous le point de vue d’Eidan.
La
première partie nous permet de comprendre le mythe. Ensuite le point de vue
d’Eidan est très intéressant car ça nous permet de comprendre sa douleur, de
voir ce qu’il pense de tout ça et comment il compte faire pour reconquérir
Anaïa.
Bref,
une nouvelle sympa mais à lire en tout premier (comme c’est noté plus
haut : tome 0) et pas comme moi à la fin…
« - Anaïa,
tu es revenue.
-
Où ça ?
-
Chez toi.
Non, ce
n’est pas ici chez moi. J’ai su où c’était, mais j’ai oublié. Une main chaude,
douce, masculine, se pose sur ma joue. Une main qui me rappelle chez moi, en
effet. Tendrement, l’homme m’attire à lui et d’instinct, je pose ma tête sur
son torse. Son cœur serein bat contre ma tempe. Il me calme, me berce. Je suis
bien là. Il avait raison, je suis chez moi. Ce n’est pas le lieu qui compte,
mais sa présence. Là où il est, je suis à la maison. Une maison faite de
chaleur, de douceur, de sécurité, d’amour. »
« Si
j’avais le sens de l’humour, je dirais que tout cela s’est passé dans une autre
vie. »
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