Titre : Cité 19, tome 2 Zone Blanche
Auteur : Stéphane Michaka
Genre : YA / Thriller
Editions : PKJ
Date de sortie : 03/03/2016
Nombre de pages : 423
Prix : 17,90 € (papier) ou 11,99
€ (numérique)
Synopsis :
Faustine,
une adolescente d'aujourd'hui, se retrouve brusquement plongée dans le XIXe
siècle. Décor grandeur nature ? Voyage dans le temps ? La réalité est bien plus
inquiétante... Tandis qu'elle s'enfonce dans les profondeurs de Cité 19, une
ville qui ressemble à s'y méprendre au Paris du Second Empire, Faustine
découvre qu'elle n'est pas la seule à vouloir détruire le simulacre. Mais elle
doit faire vite : dans son laboratoire secret, le docteur Zapruder, qui a
d'autres projets pour elle, guette le moindre faux pas de l'adolescente...
Mon avis :
J’étais
contente de retrouver Faustine dans le Paris du XIXème siècle car j’avais
beaucoup aimé le premier tome.
Je
ne suis pas une grande fan des récits dans les temps anciens mais Stéphane
Michaka a su me conquérir dans le tome 1 grâce au suspens, ainsi qu’à un bon
mélange entre le passé et la science-fiction.
Malheureusement,
je n’ai pas retrouvé cet engouement dans ce tome ci.
Je
n’ai pas réussi à accrocher à l’histoire, car l’enquête menée par Faustine n’est
pas ce qui me fait aimer l’histoire, c’est plus un aspect secondaire. Ce qui m’attire,
c’est plus le « comment » peut-elle être arrivé dans le XIXème
siècle ? Et comment va-t-elle en sortir ?
J’ai
eu la réponse à ma première question dans le tome 1. J’’attendais donc la
réponse à la deuxième ici…
Mais
le rythme de ce tome était un peu lent et il y avait, je trouve, un peu trop de
personnages dans ce tome 2. J’ai donc eu beaucoup de mal… Par contre, j’ai bien
aimé la finalité de l’histoire et je suis un peu déçue qu’elle soit, elle, un
peu trop rapide…
Le
point positif c’est la qualité de la description du Paris du XIXème siècle
faite par Stéphane Michaka. Il a su me transporter, j’avais vraiment l’impression
d’être avec Faustine.
Bref,
je suis vraiment déçue d’être passée à côté de cette lecture. Ce récit, trop
mou à certains moments, et trop rapides à d’autres, ainsi les personnages trop
nombreux, n’ont pas su me charmer (à part Faustine)
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