Titre : Le pavillon des enfants fous
Auteur : Valérie Valère
Genre : contemporain /
autobiographie
Editions : France loisirs
Date de sortie : 1981
Nombre de pages : 240
Résumé :
A
treize ans, Valérie Valère a été internée au pavillon des enfants fous d'un
grand hôpital parisien. A quinze ans, elle écrit le récit de ce séjour. Son
livre n'est pas seulement une vision du monde hospitalier, des traitements pour
les malades mentaux, le cri pathétique d'une adolescente de treize ans qui, un
jour, a refusé toute nourriture : elle prend conscience des raisons profondes
qui l'ont amenée au comportement suicidaire qu'est l'anorexie. Et son récit est
avant tout l'histoire d'une guérison.
Mon avis :
Ça
fait très très très longtemps que ce livre est dans ma pile à lire. Il
appartenait à ma mère et je ne sais même pas dire comment il a atterri dans ma
bibliothèque.
Mais
l’histoire me « tentait » pas mal. Je mets entre « ... » parce qu’on ne peut
pas dire d’un thème si fort qu’il tente, mais je n’ai pas d’autre mot.
Justement
ce thème m’intrigue, je n’arrive pas à comprendre comment une personne peut se
rendre malade au point de dépérir à ce point.
Qu’est
ce qui peut les amener à ce résultat ?
J’espérais
pouvoir le comprendre avec ce livre, vu qu’il est décrit par une personne
atteinte d’anorexie et c’est une histoire vraie.
Je
ne vais pas dire que je n’ai pas compris, j’ai cerné ce qui l’avait poussé à
agir ainsi mais je n’ai pas du tout aimé la narration.
L’histoire
part dans tous les sens. Elle écrit comme elle pense et son esprit part dans
tous les sens.
Ce
qu’on retient quand même c’est que l’internement est horrible entre l’obsession
des médecins pour la prise de poids et l’enferment des patients sans rien du
tout.
Les
patients ont du mal à comprendre pourquoi ils sont mis avec des gens qui ont
des problèmes psychiques...c’est vrai que ce n’est pas pour les aider je
trouve...
Enfin
les méthodes dans le livre sont, je pense, plus archaïques, qu’aujourd’hui
(enfin j’espère), car le livre date des années 70-80.
Bref,
on comprend ce que ressentait Valérie Valère à ce moment-là mais je n’ai pas
aimé sa narration. Je n’ai pas réussi à m’attacher à elle.
J’aurais
préféré que ça se présente sous forme de journal intime par exemple...
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