Titre : Alan Lambin et l’esprit qui pleurait
Auteur : Jean-Marc Dhainaut
Genre : Paranormal
Editions : Taurnada
Date de sortie : 31/10/2018
Nombre de pages : format numérique uniquement
Prix : gratuit
Synopsis :
Région
de Caen, novembre 1982. Brice, 16 ans, se réveille installé à son bureau, un
crayon à la main. Perplexe, il observe son lit défait dans lequel il s'est
pourtant couché la veille. Que fait-il assis là ? En posant soudain les yeux
sur la couverture de son livre de mathématiques, il peut y lire : « Je
m'appelle Rose Feibelman, et je suis morte dans cette maison. »
Un
événement étrange qui vient s'ajouter à tous ceux qui frappent la famille
Chanal depuis quelque temps.
En
arrivant sur place, Alan Lambin, spécialiste en phénomènes de hantises, ignore
encore le rendez-vous que l'Histoire lui a fixé depuis cette nuit d'été 1944.
Mon avis :
« Cette
voix grave que diffusait la radiocassette, qui parlait allemand à la lueur
d’une flamme, dans une maison plongée dans les ténèbres, était d’un glauque à
glacer le sang. »
J’ai
déjà lu 3 des aventures d’Alan lambin et ses « chasses au fantômes ».
Le tome 1 m’avait laissé sans voix car je ne m’attendais pas à cette fin, mais
cette nouvelle, elle, est celle qui m’a le plus émue.
A
chaque fois, qu’Alan Lambin commence un nouvelle « enquête », on suit
son évolution, sa recherche d’informations pour essayer de savoir ce qui a pu
se passer pour que les lieux soient hantés.
Ici,
les fantômes ont l’air assez violents, et je ne peux que me mettre à la place
des personnages…et je suis terrifiée. Mais l’auteur réussit à rester réaliste,
et ce n’est pas morbide et à glacer le sang tout le temps de l’histoire, juste
quelques petits passages.
L’histoire
du fantôme présent dans cette nouvelle est très touchante.
Comme
pour les autres livres et nouvelles, Jean-Marc Dhainaut y ajoute une touche
historique et celle choisit ici est vraiment forte : la seconde guerre
mondiale. Et ce qui la rend très touchante, c’est le fait que des enfants sont
impactés.
Bref,
une nouvelle bien développée qui aurait même pu avoir droit à un roman entier
selon moi.
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